Rennes Métropole a testé un « indice de qualité urbaine » pour identifier des lieux potentiels de ressourcement.

L’expérimentation a démontré que, davantage que le niveau sonore, c’est la qualité sonore, les ambiances, la lisibilité des lieux et leurs usages qui influent sur la perception et le ressenti des usagers. L’entrée bruit initiale s’avère insuffisante et s’ouvre alors le champ plus vaste du bien être et de la santé.

L’indice de qualité urbaine (IQU) est construit à partir de l’évaluation d’une graduation de la perception visuelle, la perception auditive, les pratiques et usages et l’accessibilité.

L’IQU est décliné au niveau communal via une approche participative, dans l’objectif d’identifier les zones calmes. Ces dernières deviennent alors des espaces de proximité stratégiques pour le ressourcement quotidien des habitants.